--

Tel. +337.403108
Fax. +332.537634
ricespin@libero.it


CULTERE ET FACTEUR DE PROGRESSION

En Italie la culture du riz se fait principalement en submersion, avec contrôle du niveau de l’eau durant toute la période de végétation qui commence depuis l’ensemencement en avril jusqu’à septembre. Seulement, récemment a été introduit la culture à sec (environ une dizaine d’années), il n’y a pas un grand suivi, suite au problème d’une médiocre qualité à la récolte. Pas tout le monde est au courant que la plante du riz ne supporte pas l’eau stagnante: c’est pour cela que le terrain est préparé pour l’ensemencement en carré délimité par de digues de différente hauteur afin de maintenir chaque rizière à un niveau différent de l’autre, pour favoriser l’écoulement de l’eau de l’une à l’autre, d’une manière lente et continue. En juin arrive le désherbage des mauvaises herbes pour éviter que le riz manque de nutrition. Après la guerreles repiqueuses étaient chargées de la transplantation. Il était fréquentde moissonner d’abord le blé et ensuite de préparer les mêmes terrains en rizière pour la transplantation, fin juin, des plantons préparés en serre. N’ayant jamais réussi à mécaniser la transplantation, elle a été abandonnée ainsi que la moisson manuelle, par conséquent les repiqueuses appartiennent au passé. Pour le désherbage on utilise des désherbants quelque fois dispersés depuis un hélicoptère ou un petit avion. L’emploi des désherbants ainsi que des engrais sont depuis quelques années surveillés par des institutions, parmi celle-ci le centre des recherches sur le riz de Mortasa. On étudie les effets sur la composition des soles, ainsi que dans les nappes aquatiques et dans la plante du riz elle-même, où le développement demande de l’azote en grande quantité. Jusqu’au siècle passè la fertilisation des rizières en azote se faisait d’une manière naturelle et biologique. (L’azote constitue le quart du cinquième de l’atmosphère). La symbiose entre les diverses bactéries et l’algue bleue de la rizière en se décomposant elle se dépose sur le terrain. Il n’est pas exclu que dans le récent passé la fougère aquatique fasse partie du processus azolla actuellement objet d’étude de la part de l’IRRI, International Rice research Institute, qui pourrait être la carte gagnante pour l’augmentation de la productivité des rizières de regions du Tiers Monde. En effet, la symbiose entre Azolla et Algue Bleue est à la base du développement primaire du riz et elle est très efficace. Les differentes formes de fixation biologique de l’azote(dit l’engrais vert) arrivent à produire environ 40 kg d’azote par hectar qui sont suffisantes pour produire presque 2 tonnes de riz par hectar sans apport d’engrais chimiques.

>>>>

webmaster